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La maladie, le mal a dit, l’âme elle a dit

Dernière mise à jour : 22 juil.



La maladie


La maladie est l’altération de l’état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non. Pour l’OMS, la définition de santé est l’état de complet bien être physique, social et mental et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. En résumé, la maladie est une altération de notre état de bien être et ce, de multiples manières.

Celle-ci peut, dans un premier temps, être très subjectif. Le ressenti de l’un ne sera pas celui de l’autre. Pour certains, selon leurs croyances, leurs expériences, l’instant présent et les émotions du moment, une simple pathologie comme une entorse bégnine pourra avoir des impacts complètement différents sur l’interprétation de ce déséquilibre.


Si je me fais une entorse alors que je prépare un marathon qui est très important à mes yeux pour diverses raisons, elle n’aura pas le même impact chez un autre qui se fait cette même pathologie alors qu’il va avoir plusieurs jours d’arrêt de travail afin de fuir son patron tyrannique. Pour l’un, nous serons dans le catastrophisme et la gravité de cette entorse, pour l’autre, la pathologie sera salvatrice. Selon la dose de sur-stress, cela va s’imprimer de manières différentes au sein de chaque cellule de notre corps et au sein de notre cerveau-ordinateur.

A mes yeux, le hasard n’existe pas. Toute pathologie qui débute par un sur stress est une logique de survie, c’est la réponse parfaite à un programme mis en place par le cerveau afin de répondre à une situation. A nous de le comprendre et d’en amener une interprétation plutôt que d’attendre uniquement l’aide d’autrui et d’être attentiste.



Le mal a dit


Dans ce monde binaire où la réflexion n’est pas forcement autorisé car sujet à controverse par les sachants, lors d’une pathologie, d’un trouble du comportement, d’un symptôme douloureux, d’un phénomène aigu ou chronique, nous sommes en droit de nous poser certaines questions. La première peut-être : Qu'est entrain de me dire, de me signifier ce mal (physique, psychique, social) ? Quel est le message envoyé par mon symptôme corporel, par mon trouble comportemental, par ma difficulté à l’instant T pour m’avertir d’un déséquilibre ?


Par exemple, dans les pathologies où le corps fabrique de la masse (de manière intelligente et coordonnée et non de manière anarchique), quel est le message que mon corps envoie alors qu’il est entrain de multiplier les cellules ? Pourquoi cette masse est-elle bénigne ou maligne ? Pourquoi sur tel ou tel organe ? Pourquoi à cet instant de ma vie ?

Cette réflexion est bien évidement à amener après avis médical et éventuellement la mise en place d’un traitement.


Mais nous pouvons devenir acteur de notre santé, et nous devons devenir acteur de notre santé.



Comme disait Ambroise Paré, grand chirurgien du XVIIème siècle : Je soigne et Dieu guérit. Si nous n’entrons pas dans la dualité d’un bien ou d’un mal, d’un paradis ou d’un enfer, d’un Dieu unique ou de Satan, mais que nous voyons le Dieu créateur en chacun de nous car nous sommes des créateurs de ce monde, la phrase d’Ambroise Paré prend tout son sens. Le soignant (et nous sommes 8 milliards de potentiels soignants sur cette planète) va soigner, va guider le patient vers la guérison, mais la seule et unique personne qui amènera la guérison sera le soigné et uniquement lui. En tant que soignant, sachons rester à notre place, guidons et amenons la possibilité à tout Être de se guérir. Hippocrate invitait chacun à réfléchir sur ce qu’il y avait à changer pour supprimer les symptômes et les pathologies. Si nous n’étions pas capable d’amener une évolution et de supprimer ce qui nous occasionnait la maladie, il était inutile d’entrevoir une guérison.


De ce fait, petite réflexion…

Lors de cette crise Covid, les autorités nous ont fait comprendre qu’il était inutile de bouger, que nous devions rester assis dans notre canapé, que nous pouvions nous abreuver de télévision, que nous avions l’autorisation de taper nos enfants, de crier sur notre compagnon ou compagne, que nous pouvions fumer à la fenêtre, manger de la malbouffe en quantité pour notre santé car, pour nous sauver, ces mêmes autorités nous proposaient une injection miraculeuse… Soyons sérieux quelques instants, croyez vous sincèrement que ce que l’on nous a proposé (imposé) équivaut à faire disparaître la maladie et nous amener la Santé ?

Agissons à chaque instant en conscience !!!



L’âme elle a dit


Dans ce chapitre, je souhaiterai sortir de notre matérialité quotidienne. Notre âme est venue s’incarner sur cette Terre afin de vivre une expérience terrestre humaine.


Nous pouvons voir le corps humain selon différents étages. Nous avons les étages Anatomique (traité par exemple avec des séances de thérapie manuelle, des massages, et autres thérapies corporelles, …), Physiologique, (traité par de la chimie, des actes médicaux, …) Energétique (traité par la Médecine Chinoise, l’Ayurveda, les médecines ancestrales, …) Emotionnel (traité de différentes façons comme le Sens Biologique, l’EMDR, …) et nous avons l’étage Spirituel. Et à cet étage, que nous raconte notre Âme ? La pathologie, l’apparition de symptômes peuvent être un message de notre Âme. Ce message profond est à écouter à l’intérieur de nous, au plus profond de nous, de différentes manières que ce soit (méditation, yoga, prière, …) par les diverses activités de retour à soi et d’écoute intérieur ou à chaque instant que nous passons sur cette planète.


Suis-je entrain de suivre le chemin que souhaite mon Âme ? Est-ce qu’elle ne m’envoie pas un message à mon étage physique, physiologique, énergétique et/ou émotionnel car celle ci est en souffrance par le chemin que nous prenons ? Sommes nous en phase avec notre mission d’Âme ?




Voilà différentes pistes de réflexions en écoutant ce mot qu’est Maladie.


La maladie ne se traite pas (uniquement) par une chimie, un acte médical ou paramédical qui va éteindre un symptôme. Bien évidemment nous en avons la plupart du temps besoin, mais nous pouvons essayer de comprendre la réalité de l’apparition de celle-ci. Vous viendrait-il à l’idée, lorsque votre voyant de réservoir d’essence quasi vide s’allume, de casser ce voyant afin de continuer votre route sereinement ? La panne vous rappellerait que le voyant (l’équivalent du symptôme) est un signal d’alerte qui vaut peut-être la peine d’être écouté plutôt que de l’éteindre.


A l’heure où la médecine et sa science scientiste s’enferme dans l’Evidence Base Medecine (l’évidence qui baise la médecine), autorisons nous à amener une autre vision du vivant et amenons une cohérence dans la logique du vivant. Rien n’arrive par hasard, d’ailleurs pour Einstein, le hasard n’est-il pas Dieu qui voyage incognito ?


De ce fait, écoutons le divin message qui nous est envoyé.


Article écrit par Sébastien Moret - Accompagnant en santé

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