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sebastienmoretther

C’est les faits papillon

Dernière mise à jour : 22 juil.




C’est lors d’un réveil, un samedi matin, que la chanson de Bénabar, ‘L’effet papillon’, est venue se complaire avec mon audition et que le titre de cet article m’est apparu. Bénabar chante : C’est l’effet papillon, petites causes, grandes conséquences. Le langage des oiseaux, la kabbale, appelez cela comme bon vous semble, se complaisant également avec mon audition, m’a permis de capter un élément important. J’ai donc nommé cet article les faits papillon et non l’effet papillon, car très régulièrement, toutes les approches médicales et paramédicales vont s’occuper de l’effet et non des faits. L’effet des faits n’est que la conséquence, la partie émergée de l’iceberg, voire le ressenti et le pathos de ce qui a été causé par les faits. Me suivez-vous ?

Dans toute thérapeutique, il faut aller chercher la cause des causes. S’occuper de la conséquence est une chose, mais cela ne sera jamais suffisant. Et les pistes sont multiples. S’il y a une atteinte organique, il faut pister le fonctionnel, l’émotionnel, l’énergétique, le psychique et le spirituel, et ce dans le vécu de la personne, sa périnatalité et sa généalogie. Vertigineux me direz-vous ? Oui, mais redoutablement guérisseur, pour vous, les ascendants, les collatéraux, les descendants et l’humanité.

 

Et pourquoi papillon ? Parce qu’en cette période de martellement publicitaire, de messages étatiques et de peurs instaurées envers les virus, les accusant de tous nos maux, depuis plusieurs années, il me vient à l’idée de clarifier le mythe de l’hyper dangerosité du papilloma virus. Pour rappel, ce virus est (soi-disant) à l’origine du cancer du col de l’utérus, cette pathologie que les autorités sanitaires souhaitent éradiquer à coup de vaccins salvateurs (cela nous rappelle une triste époque pas si lointaine et même peut-être encore d’actualités, dont la technologie chimique a montré toute sa faiblesse et son incapacité à résoudre les problèmes environnants). Tel un corona virus mortel qui est venu nous témoigner une problématique culturelle et sociale (les très vieux, les très malades et les très gros, dont nous devrions nous soucier de ce qui est fait pour eux en termes de politique sanitaire, ont été les plus atteints du covid), le papilloma virus, nous amène une information que nous devons comprendre. Compréhension à amener aussi bien à notre niveau de vie, qu’à celui de nos enfants (car les parents et leurs peurs anticipatives imposent la sentence vaccinale à leurs enfants) sans oublier la partie transgénérationnelle.

 

 

La théorie du germe selon Pasteur ?

 

Le dogme de la théorie du germe de Pasteur devrait être purement et simplement mise aux oubliettes depuis la découverte du microbiote et la preuve scientifique que nous avons en nous et sur nous 10 fois plus de bactéries, mycobactéries et virus que de nombres de cellules. Étymologiquement, la science est une remise en cause permanente des faits, mais de nos jours, sommes-nous encore dans la réalité de la science ou dans un scientisme occulte choisissant la science et les études qui arrangent ses affaires ?

Prenons un fait qui est réaliste, n’en déplaise aux pasteuriens purs. Toute personne en contact avec un papilloma virus ne déclarera pas automatiquement de cancer ou de problématique au niveau du col. Pour preuve, les garçons ne seraient que des porteurs, car, jusqu’à preuve du contraire, ils n’ont pas de col de l’utérus. Quand nous avons connaissance du nombre de virus qui sont présents dans cette famille des papilloma, il devient difficile de partir en chasse contre. On peut toujours essayer d’arrêter une vague à mains nues, l’efficacité et la probabilité d’y arriver sera nulle. Lorsque nous arrivons sur un champ de bataille et que les cadavres sont remplis de mouches, il ne faut pas conclure que le vilain tueur est cet éboueur ailé. Causalité n’est pas corrélation et vice versa.



Nous avons vu depuis ces dernières années, la virophobie est bien plus pernicieuse et dangereuse que la compréhension de ce message informationnel qu’est un brin d’ARN. Un hôte mort est complètement inutile pour le sacro saint méchant qu’est le virus. Nous leur donnons beaucoup de valeurs mortifères, mais ils font partie du fondement de notre évolution. Ils nous amènent une information à transmuter, mais n’a aucun intérêt à nous voir et savoir mort. N’oublions pas que 10% de notre ADN est d’origine virale. À quoi servent-ils donc ? À nous informer pour nous amener évolution.

 

 

Le papilloma virus, quèsaco ?

 

Voici ce que nous dit le Docteur Eduard Van Den Bogaert sur ce HPV, propos repris d’un article publié dans Néosanté (que je vous recommande chaudement).

Le HPV (Human papillomavirus) est un virus à ADN appartenant à la famille des papovavirus, dont on distingue aujourd’hui entre 50 et 100 types. Ce virus affecte les cellules épithéliales de la peau et des muqueuses, génitales et anales par exemple. Il entraîne des proliférations cutanéo-muqueuses le plus souvent bénignes, mais parfois malignes. Près d’un individu sur trois en période d’activité sexuelle serait actuellement affecté par un HPV. Le risque des transformations malignes des lésions est augmenté chez les malades immuno-supprimés ou déprimés, comme par exemple les personnes séropositives.

 



« Si la majorité des femmes ayant une activité sexuelle peut être infectée par le virus HPV, seule une minorité d’entre elles va développer un cancer du col de l’utérus après un délai de plusieurs années car des cofacteurs sont nécessaires pour le développement du processus tumoral, notamment la charge virale, le statut immunitaire, la contraception hormonale prolongée ou une prédisposition génétique. L’infection asymptomatique de ce virus intéresse environ 10% de la population générale et 25% des femmes jeunes. Par conséquent, la présence d’HPV est plus un marqueur d’activité sexuelle qu’un stigmate de lésion cervicale. La période d’incubation est de 6 mois pour les lésions condylomateuses mais un long délai est observé entre l’infection virale et le début d’un cancer invasif ».

(Source : « The epidemiology of human papillomavirus infections» (Janet G. Baseman, Laura A. KoutsKy – UW HPV Research Group – Journal of Clinical Virology 32S (2005) S16-S24)

 

 

À quoi sert le col de l’utérus ?

 

Afin de comprendre le sujet sur lequel je vous interpelle, il faut comprendre biologiquement et anatomiquement ce qu’est le col de l’utérus.

Anatomiquement, le col est la partie qui sépare le vagin de l’utérus. Ce col est en analogie anatomique avec le gland du sexe masculin.

Biologiquement, ce col sert à accueillir le pénis du partenaire dans un objectif de procréation issu d’un coït avec éjaculation afin de disperser les spermatozoïdes au sein du corps de la femme pour qu’ils puissent avoir la chance de rencontrer un ovule.



À quoi servirait donc un cancer du col de l’utérus ? Quelle serait l’utilité d’une prolifération cellulaire sur cette zone ?

La prolifération cellulaire apparaît, pour ce type d’organe, après une phase de micro-ulcérations des tissus. À un moment donné, ces micros-ulcérations ont permis de faire en sorte de coller le gland d’un partenaire dans un objectif de procréation. Une fois ce conflit résolu, quelle que soit la raison,  la prolifération cellulaire se met en route, afin de réparer, soit parce que mon partenaire m’a quitté, soit parce que j’ai trouvé le bon et j’ai procréé, soit parce que je suis ménopausée et que je ne peux plus procréer donc garder et coller un partenaire dans un but de procréer n’est plus utile (biologiquement, virtuellement, symboliquement ou de manière imaginaire).

L’image qui pourrait corroborer avec cette masse au niveau du col pourrait être de fermer celui-ci pour de multiples raisons (empêcher la procréation ou fermer afin de garder ce qui a été inséminé au sein de l’utérus entre autres).

 

 

Exemple d’une dysplasie de col

 

Je vais vous évoquer le cas d’une personne ayant une dysplasie de col sans lésion cancéreuse, mais avec un frottis positif aux papilloma virus.

Cette fille était (vous allez voir pourquoi j’emploie le passé) ce que l’on pourrait appeler, une fille volage pour les plus polis, une salope pour les plus disgracieux. Au-delà de la juger sur son activité sexuelle, elle était surtout à la recherche (consciemment ou inconsciemment) de son grand amour, du père de ses enfants. Multipliant les conquêtes sans réellement se poser avec le bon partenaire, elle pouvait être dans une difficulté d’ordre sexuelle et notamment dans l’accueil de celui qui aurait un bon potentiel pour être un procréateur. Anatomiquement, lorsqu’elle était à la recherche de ce partenaire, son col était en capacité de se nécroser, ce qui amenait des micros-ulcérations afin d’augmenter la surface d’accueil du gland du partenaire. Cela permet de le ventouser afin que cela colle. Le sens biologique des ulcérations est de permettre au tissu de coller. Lorsqu’elle trouva quelqu’un, qui pour elle était le bon, le futur père de ses enfants, elle faisait de la masse (car dans la biologie, la création des creux est vouée à être comblée à un moment donné), elle remodelait donc son col. Ces actions d’ulcérations et de remodelage (en faisant de la masse) s’effectuent avec l’intervention des papilloma virus. Là est leur rôle premier (leur utilité n’est pas de nous tuer).

Malheureusement pour elle, cette joie fut de courte durée, car ce n’était finalement pas le bon partenaire. À ce moment-là, une nouvelle ulcération se met en place, afin à nouveau  de coller le bon partenaire dans un objectif de procréation et de création d’un foyer. Ses alternances dans le remodelage du col ont pu être réitérés plusieurs fois,  ses ressentis psychiques et vitaux ont pu apparaître à chaque partenaire sexuel, même s’il n’y avait pas de lendemain.

Ce que l’on peut comprendre, c’est que son col amenait le ressenti biologique et physiologique d’accrocher le partenaire, futur père de ses futurs enfants. Tant que celui-ci n’était pas là, il y  avait alternance de micro-ulcérations du col et de réparation (donc apparition de masse). Ces lésions peuvent être visibles à l’examen sans que pour autant ce soit une lésion cancéreuse observée et analysée après le frotti. À ce jour, comme elle est maman, et que le partenaire est dans le lit, il n’y a plus besoin de ventouser celui-ci par le gland pour assurer la venue d’une descendance.

 



Assumait-elle ses nombreuses relations sexuelles avec de nombreux partenaires (car elle était en train de chercher son mâle alpha) ? Était-elle dans l’amour de sa situation de détresse à ne pouvoir trouver le bon, et donc à essayer tous les partenaires possibles pour savoir si celui-ci était le prince de ses rêves (et de ses volontés inconscientes) ? L’a-t-on traité de tous les noms les plus répugnants et les plus dégradants possibles, car elle était à la recherche du bon partenaire (en effet, plus on essaye, plus on risque de tomber sur le bon, seul le bon choix est compliqué à un moment donné) ?

Ce sont toutes ces idées de questions que l’on peut poser. Bien évidemment, il est à corréler avec la périnatalité (sa maman est elle une fille-mère, a-t-elle conçu un enfant hors mariage, était-elle une fille volage au regard des valeurs familiales, a-t-elle eu ses enfants avec son grand amour ?) et avec la généalogie (quel partenaire fallait-il attirer et garder, pour assurer descendance et rechercher toutes les difficultés dans les clans concernant la sexualité et la volonté de coller le bon partenaire).

 



 

Nos peurs (anticipatives) apaisées par la vaccination ?

 


Pour cette partie, je ne peux que vous conseiller de vous rapprocher des ouvrages de Michel de Lorgeril, des époux Delépine, des articles scientifiques de Senta Depuyt, des études scientifiques issus de ce scientisme que sont la recherche matérialiste et les méta-analyses issues des pays vaccinés. Tout, je dis bien tout, nous amène à un rapport bénéfice risque inexistant, voire dangereux. Je vous laisse faire vos recherches. Pour information, l’âge moyen d’apparition des cancers est au-delà des 50 ans. Depuis la vaccination massive, l’âge moyen diminue.

Posons-nous donc les bonnes questions. Si nous vaccinons à tour de bras, c’est que nous sommes dans nos peurs anticipatives d’une situation qui n’a pas existé, n’existe pas et/ou n’existera pas. Nous ne sommes clairement pas dans le présent.

 

C’est pour cela qu’il faut aller chercher dans notre vécu, notre périnatalité, mais également la sexualité de nos parents et celle de nos aïeux, afin de récolter les informations susceptibles de nous avoir été transmises afin de faire évoluer ces malédictions, ces secrets autour de ce grand tabou dans la plupart des familles.

 

Pourquoi imposer aux enfants le lourd tribut familial et le lourd tribut de nos histoires personnelles ? Peut-être serait-il temps d’accueillir la sexualité comme il se doit, d'évoluer vers une sexualité sacrée consciente et non une sexualité de consommation non consciente. Peut-être devrions-nous nous pardonner de la honte que nous pouvons avoir dans notre sexualité (grand nombre de partenaires : je suis une pute, je suis un salaud ; jeu considéré comme malsain et non admission de pratique ; croyances…).

 

 

Que faire ? (liste non-echaustive)

 



-       Assumer son histoire sexuelle.

-       Ne pas juger ses besoins, conscient ou inconscient ; ne pas juger ceux des autres ; ne pas juger autrui, car nous n’avons pas les mêmes histoires personnelles et familiales.

-       Accueillir les partenaires féminins ou masculins avec respect, bienveillance et amour inconditionnel et être en conscience de ce que nous faisons sans jugement.

-       Parler de sexualité à ses enfants (en fonction de leur âge). Ne laissez pas l’État et ses idées perverses s’en charger. Ils mettront dans la tête des enfants des peurs et nous savons à ce jour que les peurs augmentent les risques de pathologies et de maladies.

-       Ne pas transmettre nos peurs anticipatives à nos enfants, et laisser leur libre arbitre jusqu’à ce qu’ils soient en âge de décider en leur âme et conscience.

-       Libérer l’être humain de 2 000 ans de culpabilité judéo chrétienne.

-       Rechercher dans sa périnatalité les problématiques autour de la sexualité, de l’accueil du ou des partenaire(s), des grands amours impossibles, ou des amours perdus.

-       Comprendre les histoires familiales, les conceptions, les difficultés rencontrées dans les familles, les situations prohibées et interdites dans les croyances et les loyautés familiales.

-       Comprendre quelle est la notion vitale d’avoir un partenaire sexuel : s’amuser, procréer, créer une famille avec ou sans foyer, fonder un foyer, répondre à une injonction de clan.

-       La vaccination n’est en rien de la prévention. La réelle prévention se fait dans la beauté de l’image que l’on a de soi, dans sa sexualité, la beauté et la cohérence de sa sexualité (pour cette thématique du col de l’utérus). Il faut également une analyse émotionnelle de son vécu, de sa périnatalité et le pistage au sein de son arbre généalogique des difficultés dans les relations avec partenaire sexuel.

 



 

Pour conclure

 

Ne minimisez jamais votre pouvoir guérisseur, vous avez des capacités, utilisez-les. Faites-vous aidez si besoin. N’ayez pas peur d’accueillir vos parts d’ombre, n’ayez pas peur de la magnificence de votre lumière, alchimisez le tout et reprenez votre pouvoir et votre souveraineté.



Mesdames, vous êtes de magnifique Eve, le féminin originel, et comme le disait Annick de Souzenelle, vous n’êtes pas issue de la côte d’Adam, mais vous êtes l’autre côté d’Adam, l’Homme. Cette ambiguïté est due à une mauvaise traduction de la Bible. Tout comme vous avez permis à l’Homme d’accéder à la connaissance en mangeant le fruit défendu (nous devrions vous remercier chaque jour que le Divin fait), cette pathologie vient révéler les souffrances et les scories du féminin et du masculin dans les relations sexuelles sacrées ou non. Par l’intermédiaire de votre corps qui s’exprime au niveau de ce col, vous êtes le phare dans ces mers troubles sur lesquelles la vie nous amène parfois à naviguer. N’attendons pas que le jour se lève pour retrouver paix, équilibre et harmonie dans les couples, dans les foyers, dans les relations à autrui, dans les clans, dans ce monde et sur cette Terre. Soyons le début d’un nouveau chapitre de cette magnifique histoire qu’est la VIE.

 

Mesdames, Merci d’être ce que vous êtes.


Article écrit par Sébastien Moret - Accompagnant en santé



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